Himins Arthur “HIMINS” lors de sa visite au club “un mois, un livre”. a partagé sans filtre ses expériences passées, ses regrets et ses conseils pour la jeunesse à travers son livre “Journal d’une jeunesse gaspillée” . À travers cinq principes sur le temps, il invite à la prise de conscience et à la diversification des sources de revenus. Une histoire d’espoir et de réussite qui prône la discipline, la foi et la valorisation du temps.
Lors de cette deuxième rencontre de l’année 2024 qui s’est déroulée le 25 février 2024, le club “un mois, un livre” a été honoré de la visite d’un auteur camerounais nommé Himins Arthur “HIMINS” pour la première fois depuis sa création. Himins a partagé ses expériences passées, parfois sombres, avec les membres du club. La crise sanitaire liée au COVID-19 a été le catalyseur de l’écriture de son livre autobiographique, présenté comme un guide pour les jeunes.
Originaire de Douala, Himins a partagé sans filtre ses expériences négatives, ses erreurs et ses regrets de jeunesse. Son œuvre encourage la jeunesse à prendre conscience de la valeur essentielle dans le processus de réussite : le temps. L’auteur a développé cinq principes clés sur le temps: “Le temps ne fait pas de bruit”, “Le temps est équitablement réparti entre les hommes”, “Le temps passé ne revient jamais”, “Nous ne sommes pas maîtres du temps” et “Le temps est soit notre allié, soit notre ennemi”.
Convaincu de la nécessité d’aider les jeunes à éviter les écueils qu’il a rencontrés, Himins, qui est également investisseur, a partagé ses idées sur la diversification des sources de revenus pour inspirer les plus ambitieux et courageux. Son livre se termine sur une note d’espoir, soulignant qu’il n’est jamais trop tard pour réaliser ses rêves tant que l’on est en vie. La persévérance, la discipline et la foi peuvent mener à l’accomplissement de ses objectifs.
Himins a souligné que sa jeunesse, marquée par des erreurs, lui a finalement permis de devenir un conquérant expérimenté. En empruntant le chemin de la sagesse, il a pu atteindre son village intérieur, celui où il peut dire avec fierté : “Mes efforts ont payé”.
Noura Bakayoko.
